Vous êtes peut-être enthousiasmé·e·s, emballé·e·s, séduit·e·s par

le projet Phare Commons décrit dans cet article

et vous souhaitez contribuer à sa réalisation ? Nous lançons ici une campagne pour collecter 20 000 € au service de ce projet dans les six mois.

Pour y participer et nous aider financièrement (par un don ponctuel ou mensuel),

cliquez ici

Ce lien vous conduit vers l’association PPS France, autorisée à émettre des reçus fiscaux pour les dons. Vous pourrez ainsi bénéficier d’une déduction fiscale à hauteur des deux-tiers : un don de 60 € ne vous coûtera donc en réalité que 20 €.

Sur cette page, vous serez d’abord invité·e à créer un compte ; puis, vous accéderez à un formulaire où vous indiquerez le montant souhaité (en don ponctuel ou en don récurrent) et fournirez des informations personnelles.

N’oubliez pas d’indiquer en bas, dans les informations complémentaires, comme « motif du don » : « Pour Phare Commons Social ».

TAUX DE RÉALISATION DE L’OBJECTIF (20 000 €) À CE JOUR : 55,195 %, soit 11 039 €.

Mobilisez-vous et faites circuler à vos proches afin d’atteindre rapidement cet objectif  ! Merci d’avance !

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez trouver une

présentation du projet Phare Commons.

Une rétrospective de l’histoire de Phare depuis bientôt 40 ans. Et une invitation à soutenir financièrement la réalisation d’un vaste ensemble qui comprendra – outre une bibliothèque, un café et une cantine – un espace muséal pour héberger le patrimoine initial de notre projet (et notamment les dessins réalisés par les enfants dans le camp réfugié de Site 2).

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez trouver une

présentation du projet Phare Commons.

Du génocide khmer rouge au centre artistique de Battambang en passant par les camps de réfugiés.

Phare, c’est à l’origine une expérience de restauration de soi-même par le dessin qu’ont vécue, à la fin des années 1980, des enfants cambodgiens après quatre années de mort et de destruction khmère rouge, l’échec de la résistance face à l’occupation vietnamienne et l’enfermement des camps. Elle a donné naissance, au début de la décennie suivante, à la mise en place d’un centre artistique, aujourd’hui l’un des plus importants du Cambodge.

Cette expérience est relatée à travers :

• un livre, « Voyage dans les rêves des enfants de la frontière » ;
• un film, « Ombre et lumière » ;
• une exposition de dessins ;
• un centre artistique à Battambang, la deuxième ville du Cambodge.

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